lunes, 6 de abril de 2009

Lanzarse al agua (2ª parte)

ESPAÑOL

2. segunda parte

Los cuatro se reunieron pues en la oficina del presidente. Llegaron a la conclusión de que lo mejor era comenzar estudiando y analizando cada uno de los continentes existentes. Así se los repartieron:
Marie analizó el continente europeo, lo que no le resultó difícil gracias a su gran sabiduría y entusiasmo por aprender. Antonio estudió el continente africano: era un joven muy fuerte física y mentalmente, lo cual le ayudaba para afrontar las duras condiciones de la zona. Shirley se decantó por América ya que era "su" continente y lo conocía como la palma de su mano. A Juki le tocaron dos, Asia y Oceanía, porque era el mayor de todos.
Se pusieron manos a la obra y al cabo de un mes convocaron a los representantes de cada país del mundo a una videoconferencia desde Londres. Yuki habló en nombre de todos:
-"Señores, después de todos estos días buscando por los cinco continentes, preguntando a todos los especialistas, e indagando en las aldeas más recónditas del planeta, tenemos que confesar que no sabemos dónde podemos encontrar más agua. Creemos que la solución sólo puede venir de nosotros mismos: EL AGUA SE ACABA SI NOSOTROS QUEREMOS QUE SE ACABE"
Todos los asistentes a la reunión se quedaron consternados. Alguna vez habían creído que aquellos portentosos chicos iban a dar con la solución mágica pero finalmente tenían que rendirse a la evidencia: tal solución mágica no existía.
Al notar la decepción de los dirigentes del planeta, los chicos se miraron unos a otros. Antonio dijo:
-"Hay que ponerse a trabajar, no disponemos de mucho tiempo"
-"¡Eso es, tenemos que organizarnos e inventar algún sistema para poder medir el agua que gasta cada familia del planeta! ¡¡¡Y tenemos que hacerlo ya!!!, gritó Shirley.
-"Pero, ¿de qué nos va a servir saber lo que gastan si no podemos hacer nada", dijo Marie.
Yuki, que cada vez estaba más convencido de que no había otra solución, dijo, muy animado:
-"¡Pues, muy sencillo, cuando una familia sobrepase el límite, le cortamos el agua!
-"Pero, ¿cómo vamos a hacer eso?, preguntó Marie.
Antonio, que estaba muy atento y pensativo, exclamó:
-"Todo es cuestión de fuerza de voluntad. Si queremos podemos. En principio, lo que podemos hacer es que en cada ciudad haya una gran oficina, en la que se controle todo esto y cuando se gaste más de lo necesario se cortará el agua"
-"La idea es fantástica pero sigo sin saber cómo vamos a conseguirlo", dijo Marie.
Entonces el presidente del mundo tomó la palabra...

Alba Martín (3ºC)

FRANCÉS

2. Seconde partie

Ils se réunirent tous les quatre dans le bureau du Président et arrivèrent à la conclusion que le mieux était de commencer à étudier et à analyser chacun des continents existants. Ils se les répartirent ainsi :
Marie analysa le continent européen, ce qui ne lui parut pas difficile vu sa grande culture et son enthousiasme pour apprendre. Antonio étudia le continent africain : c’était un jeune très fort physiquement et mentalement, ce qui l’aidait pour affronter les conditions de vie difficiles de ces pays. On attribua à Shirley l’Amérique puisque c’était « son » continent et elle le connaissait sur le bout des doigts. Juki, lui, comme il était le plus âgé, hérita de deux continents, l’Asie et l’Océanie.
Ils prirent les choses en mains et au bout d’un mois, convoquèrent les représentants de chaque pays du monde à une vidéoconférence depuis Londres. Yuki parla au nom de tous :
-« Messieurs, après avoir cherché tout ce temps dans les cinq continents, demandé à tous les spécialistes et enquêter dans les villages les plus reculés de la planète, nous sommes obligés de reconnaître que nous ne savons pas où trouver davantage d’eau. Nous pensons que la solution ne peut venir que de nous : L’EAU S’EPUISE SI NOUS, NOUS VOULONS QU’ELLE S’EPUISE. »
Tous ceux qui assistaient à la réunion furent consternés. Ils avaient pourtant cru que ces jeunes talentueux allaient trouver la solution magique mais finalement, ils devaient se rendre à l’évidence : cette solution magique n’existait pas.
En voyant la déception des dirigeants de la planète, les jeunes se regardèrent. Antonio dit :
-« Il faut se mettre au travail, nous ne disposons pas de beaucoup de temps. »
-« Tu as raison, nous devons nous organiser et inventer un système quelconque pour mesurer l’eau que dépense chaque famille sur terre! Et nous devons le faire tout de suite !! « cria Shirley.
-« Mais, ça va servir à quoi de savoir ce qu’elles dépensent si nous ne pouvons rien faire ? » dit Marie .
Yuki, qui était de plus en plus convaincu qu’il existait une autre solution, dit, très excité :
-« Et bien, c’est très simple, quand une famille dépasse la limite, nous lui coupons l’eau !
-« Mais, comment allons-nous faire ?» demanda Marie.
Antonio, qui était très attentif et pensif, s’exclama :
-« Tout n’est qu’une question de force de volonté. Si nous le voulons, nous pouvons le faire. Au début, nous pouvons prévoir dans chaque ville un grand bureau de contrôle chargé de couper l’eau en cas de dépassement. »
-« L’idée est fantastique mais je ne comprends toujours pas comment nous allons y arriver » dit Marie.

Le Président du monde prit alors la parole ……..