jueves, 19 de marzo de 2009

Quinto cuento. “Agua en el desierto”

Cinquième conte "De l'eau dans le désert"

Quinto cuento "agua en el desierto"

Pauline Bompas 204/ Víctor Pérez (2º Bach)

Il était une fois sur le continent le plus pauvre du monde, une petite-fille de huit ans appelée Inaya

Érase una vez, en el continente más pobre del mundo, una chiquilla de ocho años que se llamaba Inaya.

Elle vivait avec sa mère et son petit frère dans une case en terre, dans un village aux portes du désert le plus aride qu’il soit.

Vivía con su madre y su hermanito en una choza de adobe, en un pueblo en la linde del desierto más árido que pueda imaginarse.

Tout autour, on ne voyait que des dunes. La grande ville était bien loin !

Alrededor no se veían más que dunas. ¡La gran ciudad estaba muy lejos!

Ce jour là, Inaya, se rendit à l’école primaire comme tous les matins pour apprendre à lire et à compter comme tous les enfants de son âge.

Ese día, Inaya fue a la escuela como todas las mañanas para aprender a leer y a contar como los demás niños de su edad.

Mais le soir, elle ne rentra pas directement chez elle. Elle avait envie d’aller voir ce qu’il y avait au-delà des dunes et, malgré l’interdiction de sa maman, elle grimpa au sommet de la première dune.

Pero por la tarde no volvió a su casa directamente. Tenía ganas de ir a ver lo que había más allá de las dunas y, contraviniendo la prohibición de su madre, trepó a la cima de la primera duna.

Elle sentit une présence derrière elle, se retourna craintive et fut très étonnée de voir Maalik, un autre petit garçon du village.

Notó una presencia detrás de ella, se volvió asustada y se quedó asombrada de ver a Maalik, otro chiquillo del pueblo.

Ils s’amusèrent à rouler dans le sable et à courir d’une dune à l’autre. Un jeune fennec, intrigué par les cris de joie des enfants, les suivait à distance.

Se divirtieron dando volteretas por la arena y corriendo de una a otra duna. Un cachorro de zorro del desierto, intrigado por los alegres gritos de los niños, les seguía a una cierta distancia.

Il devait avoir envie de jouer, lui aussi, car il s’ennuyait à mourir tout seul. Il n’était pas comme les autres fennecs : il connaissait le langage des hommes.

Debía de tener ganas de jugar también él pues se aburría mortalmente él solo. No era como los otros zorros del desierto: hablaba la lengua de los hombres.

Les enfants lui demandèrent :
- « Veux-tu jouer avec-nous à cache-cache ? »
- Oh, oui, je veux bien- répondit-il tout content.

Los niños le preguntaron:
-¿Quieres jugar a esconder con nosotros?
-Claro que sí que quiero- respondió muy contento.

Inaya et Maalik lui expliquèrent les règles du jeu : il devait conter haut et fort jusqu’à 20 et pendant ce temps, les enfants devaient courir se cacher.

Inaya y Maalik le explicaron las reglas del juego: tenía que contar bien alto hasta 20 y mientras tanto los niños tenía que correr para esconderse.

Le fennec qui avait un odorat très développé, n’eut pas de mal à les trouver ! Alors, ce fut au tour de Inaya de compter : un, deux ……20 !!!

El zorro, que tenía el sentido del olfato muy desarrollado, ¡no tuvo ningún problema para encontrarlos! Después le tocó a Inaya contar: un, dos….. 20.

Elle crut apercevoir le fennec et courut dans cette direction, mais non, il n’y avait rien ni personne, que le sable à perte de vue.

Creyó ver al zorro y corrió en aquella dirección, pero no, no había nada ni nadie, sólo arena hasta donde alcanzaba la vista.

Elle partit dans une autre direction, mais là non plus, il n’y avait personne ! Mais où étaient donc passés Maalik et leur nouvel ami ?

Corrió en otra dirección pero por allí tampoco había nadie. ¿Dónde se habían metido Maalik y su nuevo amigo?

Un vent de sable se levait et recouvrait peu à peu les traces de pas de ses deux amis.

Se levantó un viento de arena que tapaba poco a poco las huellas de sus dos amigos.

Soudain, elle aperçut un vieil homme qui puisait de l’eau dans un puits et remplissait sans peine de grands seaux.

De repente vió a un anciano que sacaba agua de un pozo y llenaba sin esfuerzo grandes cubos.

Tant d’eau dans le désert ! Comment était-ce possible ? Sa présence ne sembla pas déranger le vieil homme

¡Tanta agua en el desierto! ¿Cómo era posible? Su presencia no pareció molestar al anciano.

Elle s’approcha de lui :
- « Monsieur, qui êtes-vous donc ?
»
-

-“C’est vrai ce que l’on dit, tu es spéciale” – dit le vieil hoème partie.mme en souriant.
-“Pourquoi dites-vous ça? Quelqu’un vous a-t-il parlé de moi?”
-“ Pourquoi est-ce que je dis ça? Je ne pense pas que ce soit très normal de rencontrer un vieil homme comme moi en train de tirer de l’eau dans le désert et de lui demander qui il est au lieu de ce qu’il fait ou bien d’où il vient” – Il fit une courte pause; il semblait prendre plaisir à la conversation . –“ Et oui, tout le monde parle de toi.”
- “Bon ...., eh bien, que faites-vous ici? Demanda Anaya, ignorant la seconde partie de la réponse.
-“Je viens te faire une proposition; je vais te révéler un secret si tu es disposée à oublier la vie que tu connais. Je viens t’ouvrir les yeux.”
Cette conversation l’inquiétait de plus en plus. Elle ne comprenait pas quelle force étrange la poussait à attendre les paroles de cet homme. Dans une autre situation, elle aurait fui; mais ce personnage, quoique sinistre, inspirait un immense calme.
D’un claquement de doigts, il fit apparaître autour d’eux une ville énorme. Il n’y avait aucune trace de la misère et de la faim qui régnaient dans la ville natale d’Anaya; cette ville, même en plein désert, semblait être à l’écart, pleine de vitalité et de joie. Le torchis avait été remplacé par le marbre et les dunes par de jolis parcs et des fontaines.
La petite fille était impressionnée par cette vision et elle ne put que balbutier un timide “ Où suis-je?”.
-“C’est ton village, enfin – rectifia-t-il- une partie que vous ne pouvez pas voir. Nous sommes vos gardiens et toi, tu es l’un d’entre nous.”
-“ Que dois-je faire? Je voudrais aider les miens.” S’exclama Anaya avec la fermeté qui la caractérisait.
-“ Voilà votre problème, petite : si tu restes avec nous, tu ne pourras plus renter chez toi. Nous restons toujours cachés, essayant de vous rendre la vie plus facile, trouvant de l’eau pour vous quans vous avez soif et prenant soin des troupeaux lors des tempêtes de sable. Sans nous, vous ne pourriez pas survivre.
-“ Mais pourquoi êtes-vous si égoïstes? Pourquoi ne nous révélez-vous pas vos secrets pour que nous puissions mieux vivre?”
-“ Tu parles d’égoïsme, Mesure bien tes paroles, petite” – répliqua-il, visiblement en colère. –“Tu ne crois pas que si on vous révélait tout ça, la vie dans le désert serait exactement la même que sur le reste de la planète? Tout le désert se remplirait de gens qui n’ont jamais habité ici et ils trouveraient un moyen de le détruire de la même façon qu’ils ont déjà détruit des bois et des montagnes que l’on croyait indestructibles.”
-“Mais pourquoi moi? Pourquoi maintenant?
-“ça a toujours été toi, Anaya, parce que tu es différente. Peu de gens parleraient avec un renard et ne seraient pas surpris de .....
-“Et Malik? Lui aussi il a parlé avec le renard, il est comme moi!
-“ Non, Anaya, vous ne vous ressemblez pas du tout. C’est ta décision, ton futur, si tu l’acceptes. Le sien est beaucoup plus compliqué, il ne nous appartient pas. Toi tu as le choix – sa voix sembla trembler pour la première fois de toute la conversation, il douta- lui non.

Víctor Pérez

Se aproximó a él:
- Oiga, ¿quién es usted?

2ª parte

-Es verdad lo que decían, eres especial- dijo el anciano sonriendo.
-¿Por qué dice eso? ¿Alguien le ha hablado de mí?
-¿Que por qué digo eso? No creo que sea lo más normal encontrarse a un viejo como yo sacando agua en el desierto y preguntar quién soy en lugar de qué hago o de dónde vengo- Hizo una breve pausa, estaba disfrutando de la conversación aparentemente. – Y sí, todo el mundo habla de ti.
-Bueno…, pues, ¿qué hace usted aquí?- preguntó Inaya obviando la segunda parte de la respuesta.
-Vengo a hacerte una propuesta, a revelarte un secreto, si estás dispuesta a olvidar tu vida tal y como la conoces. A abrirte los ojos.
Esta conversación cada vez la inquietaba más. No entendía qué extraña fuerza la hacía permanecer expectante a las palabras de aquel hombre. En cualquier otra situación ella hubiera huido; pero aquel personaje, aunque siniestro, desprendía una inmensa calma.
Y con un chasquido de sus dedos apareció a su alrededor una ciudad enorme. En ella no se apreciaba ni rastro de la miseria y el hambre de la ciudad natal de Anaya: esta villa, aun rodeada de desierto, parecía estar aislada de él, llena de vitalidad y alegría. El adobe había sido sustituido por mármol y las dunas por preciosos parques y fuentes.
La niña estaba impactada por aquella imagen y únicamente pudo balbucear un tímido, -¿dónde estoy?
-Es tu pueblo, bueno –rectificó- una parte de él que no podéis ver. Somos vuestros guardianes, y tú, uno de nosotros.
-¿Qué tengo que hacer? Yo quiero ayudar a los míos –exclamó Anaya con la decisión que la caracterizaba.
-Aquí viene nuestro problema, pequeña: si te quedas con nosotros no puedes volver a casa. Estamos siempre ocultos, tratando de haceros la vida más fácil, encontrando agua para vosotros cuando tenéis sed y cuidando de los rebaños en las tormentas de arena. Sin nosotros no podríais subsistir.
-Pero, ¿por qué sois tan egoístas? ¿Por qué no nos reveláis todos vuestros secretos para que podamos vivir mejor?
-¿Egoísmo? Mide bien tus palabras, pequeña- replicó visiblemente enojado. -¿No crees que si todo os fuese revelado, la vida en el desierto sería exactamente igual que en todo el planeta? Esto se llenaría de gente que jamás ha habitado aquí y que encontraría una manera de destruirlo tal y como han hecho ya con bosques y montañas, aparentemente indestructibles.
-Pero, ¿por qué yo? ¿Por qué ahora?
-Siempre has sido tú, Anaya, eres diferente. Poca gente hablaría con un zorro y no se vería sorprendida…
-¿Y Malik? Él también habló con el zorro, ¡él es como yo!
-No, Anaya, no os parecéis en nada. Esta es tu decisión, tu futuro, si lo aceptas. El suyo es mucho más complicado, no nos compete a nosotros. Tú tienes opciones –su voz pareció temblar por primera vez en toda la conversación, dudó-, él no.
Víctor Pérez
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