Cinquième conte "De l'eau dans le désert" Quinto cuento "agua en el desierto" Pauline Bompas 204/ Víctor Pérez (2º Bach) | |
Il était une fois sur le continent le plus pauvre du monde, une petite-fille de huit ans appelée Inaya | Érase una vez, en el continente más pobre del mundo, una chiquilla de ocho años que se llamaba Inaya. |
Elle vivait avec sa mère et son petit frère dans une case en terre, dans un village aux portes du désert le plus aride qu’il soit. | Vivía con su madre y su hermanito en una choza de adobe, en un pueblo en la linde del desierto más árido que pueda imaginarse. |
Tout autour, on ne voyait que des dunes. La grande ville était bien loin ! | Alrededor no se veían más que dunas. ¡La gran ciudad estaba muy lejos! |
Ce jour là, Inaya, se rendit à l’école primaire comme tous les matins pour apprendre à lire et à compter comme tous les enfants de son âge. | Ese día, Inaya fue a la escuela como todas las mañanas para aprender a leer y a contar como los demás niños de su edad. |
Mais le soir, elle ne rentra pas directement chez elle. Elle avait envie d’aller voir ce qu’il y avait au-delà des dunes et, malgré l’interdiction de sa maman, elle grimpa au sommet de la première dune. | Pero por la tarde no volvió a su casa directamente. Tenía ganas de ir a ver lo que había más allá de las dunas y, contraviniendo la prohibición de su madre, trepó a la cima de la primera duna. |
Elle sentit une présence derrière elle, se retourna craintive et fut très étonnée de voir Maalik, un autre petit garçon du village. | Notó una presencia detrás de ella, se volvió asustada y se quedó asombrada de ver a Maalik, otro chiquillo del pueblo. |
Ils s’amusèrent à rouler dans le sable et à courir d’une dune à l’autre. Un jeune fennec, intrigué par les cris de joie des enfants, les suivait à distance. | Se divirtieron dando volteretas por la arena y corriendo de una a otra duna. Un cachorro de zorro del desierto, intrigado por los alegres gritos de los niños, les seguía a una cierta distancia. |
Il devait avoir envie de jouer, lui aussi, car il s’ennuyait à mourir tout seul. Il n’était pas comme les autres fennecs : il connaissait le langage des hommes. | Debía de tener ganas de jugar también él pues se aburría mortalmente él solo. No era como los otros zorros del desierto: hablaba la lengua de los hombres. |
Les enfants lui demandèrent : | Los niños le preguntaron: |
Inaya et Maalik lui expliquèrent les règles du jeu : il devait conter haut et fort jusqu’à 20 et pendant ce temps, les enfants devaient courir se cacher. | Inaya y Maalik le explicaron las reglas del juego: tenía que contar bien alto hasta 20 y mientras tanto los niños tenía que correr para esconderse. |
Le fennec qui avait un odorat très développé, n’eut pas de mal à les trouver ! Alors, ce fut au tour de Inaya de compter : un, deux ……20 !!! | El zorro, que tenía el sentido del olfato muy desarrollado, ¡no tuvo ningún problema para encontrarlos! Después le tocó a Inaya contar: un, dos….. 20. |
Elle crut apercevoir le fennec et courut dans cette direction, mais non, il n’y avait rien ni personne, que le sable à perte de vue. | Creyó ver al zorro y corrió en aquella dirección, pero no, no había nada ni nadie, sólo arena hasta donde alcanzaba la vista. |
Elle partit dans une autre direction, mais là non plus, il n’y avait personne ! Mais où étaient donc passés Maalik et leur nouvel ami ? | Corrió en otra dirección pero por allí tampoco había nadie. ¿Dónde se habían metido Maalik y su nuevo amigo? |
Un vent de sable se levait et recouvrait peu à peu les traces de pas de ses deux amis. | Se levantó un viento de arena que tapaba poco a poco las huellas de sus dos amigos. |
Soudain, elle aperçut un vieil homme qui puisait de l’eau dans un puits et remplissait sans peine de grands seaux. | De repente vió a un anciano que sacaba agua de un pozo y llenaba sin esfuerzo grandes cubos. |
Tant d’eau dans le désert ! Comment était-ce possible ? Sa présence ne sembla pas déranger le vieil homme | ¡Tanta agua en el desierto! ¿Cómo era posible? Su presencia no pareció molestar al anciano. |
Elle s’approcha de lui : -“C’est vrai ce que l’on dit, tu es spéciale” – dit le vieil hoème partie.mme en souriant. | Se aproximó a él: 2ª parte |
jueves, 19 de marzo de 2009
Quinto cuento. “Agua en el desierto”
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